1950 nouvelles fenêtres pour le siège du CNRS : SEPALUMIC et NEGRO ont relevé le défi en un temps record ! Le siège parisien du CNRS fait peau neuve. En seulement 8 mois de travaux, l’intégralité des fenêtres du bâtiment a été remplacée. Une opération réalisée en un temps record. Pour ce chantier emblématique, les menuiseries SEPALUMIC se sont imposées.
Siège social du CNRS à Paris
Sepalumic et Negro relevent le defi
Le challenge était de taille. Au-delà de la nécessaire rénovation d’un bâtiment datant de 1957 dont les menuiseries étaient d’origine et qui devait rester occupé le temps des travaux, la difficulté a aussi reposé sur les contraintes de désamiantage du chantier. Le choix du maître d’ouvrage s’est ainsi porté sur NEGRO. « Cette entreprise a dès le départ bien intégré nos prérogatives et partagé notre vision des opérations. Nous voulions vraiment une société qui soit capable de désamianter les anciennes menuiseries et, dans le même temps, de poser les nouvelles », explique Jessy Viougeas, en charge des opérations pour le CNRS.
Des exigences auxquelles NEGRO a répondu en choisissant des menuiseries signées Sepalumic. « Il fallait tenir la distance et la cadence en proposant un produit adapté, commente Franck Auzoux, de chez NEGRO. Nous avons donc immédiatement pensé à recourir à la gamme Sepalumic car il nous fallait de l’approvisionnement et surtout de la fiabilité ; nous savions que Sepalumic répondrait à ces critères en fabriquant vite et bien ! »
8 mois de chantier pour 1950 fenêtres à changer : le rythme fut soutenu !
Faits et chiffres clés
- Projet : Remplacement des 1950 fenêtres du bâtiment
- Lieu : Paris (75)
- Maître d’ouvrage : CNRS
- Architecte : Jean Lescot
- Fabricant / Installateur : Negro
- Gammes : Fenêtre à ouvrant caché 5200
- Photos : Sébastien Roignant
Un vrai coup d’eclat !
Ainsi, 15 à 18 nouvelles fenêtres de la gamme ouvrant caché 5200 i-Process de chez Sepalumic, ont été installées chaque jour. Le produit, en effet, s’est imposé par ses performances thermiques mais aussi sa capacité à se fondre à l’existant sans besoin de créer de profils spécifiques… Aujourd’hui, le siège du CNRS offre un nouveau confort à ses 1000 collaborateurs qui y travaillent chaque jour grâce à des « menuiseries extérieures isolantes à rupture de ponts thermiques », précise Jean Lescot, l’architecte de l’opération.
Côté esthétique, justement, « habillé » en Sepalumic, le bâtiment affiche « un aspect nouveau par rapport aux menuiseries bois des années 50, les teintes en sont ravivées, un vrai coup d’éclat ! », poursuit Jean Lescot. Et d’ajouter : « Le support était beau et permettait donc d’envisager une très belle rénovation. »
À voir le résultat, on peut en effet dire que cette réhabilitation est parfaitement réussie !